Structure d'Appui Régionale à la Qualité des soins et à la Sécurité des patients d'Ile de France

Webinaire COVID19
Dépistage et déconfinement des établissements accueillant des personnes
en situation de handicap - 19 mai 2020
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L’intégration des IRP n’est pas obligatoire. Vous pouvez bien évidemment inviter un membre IRP si vous pensez qu’il peut utile aux missions définies de la cellule de crise.
Pour plus d’information vous pouvez consulter notamment le document de l’ANACT « Les étapes d'élaboration d'un Plan de Continuité d’Activité », 22/12/2010 :
L’intégration des IRP n’est pas obligatoire. Vous pouvez bien évidemment inviter un membre IRP si vous pensez qu’il peut utile aux missions définies de la cellule de crise.
Pour plus d’information vous pouvez consulter notamment le document de l’ANACT « Les étapes d'élaboration d'un Plan de Continuité d’Activité », 22/12/2010 :
Il s’agit d’une décision qui relève de la cellule de crise ou du directeur et qui s’appuie sur une évaluation pluridisciplinaire.
Evaluer les motifs de la demande, les modalités de prise en charge et de confinement au sein de la famille.
Informer la famille qu’en cas de retour prématuré, les conditions de ré-admission dépendront de l’évolution de l’épidémie au sein de la structure au moment du retour.
Il s’agit d’une décision qui relève de la cellule de crise ou du directeur et qui s’appuie sur une évaluation pluridisciplinaire.
Evaluer les motifs de la demande, les modalités de prise en charge et de confinement au sein de la famille.
Informer la famille qu’en cas de retour prématuré, les conditions de ré-admission dépendront de l’évolution de l’épidémie au sein de la structure au moment du retour.
Le statut COVID d’une personne peut effectivement d’évoluer d’un jour à l’autre, c’est tout l’intérêt du confinement. En cas de nécessité impérieuse, les règles de distanciation sociale et les gestes barrières doivent être appliqués. Le résident doit être accompagné d’un membre du personnel qui s’assurera du respect des mesures de distanciation sociale
Le statut COVID d’une personne peut effectivement d’évoluer d’un jour à l’autre, c’est tout l’intérêt du confinement. En cas de nécessité impérieuse, les règles de distanciation sociale et les gestes barrières doivent être appliqués. Le résident doit être accompagné d’un membre du personnel qui s’assurera du respect des mesures de distanciation sociale
Il est nécessaire d’isoler et de dépister un résident dès l’apparition des signes cliniques évocateurs de COVID. Les signes cliniques sont multiples : toux, fièvre qui peut être fluctuante, oppression thoracique, dyspnée, douleurs musculaires, perte du gout ou de l’odorat, fatigue, diarrhée, …
Les professionnels doivent appliquer les précautions complémentaires gouttelettes et contact dès la mise en isolement du résident.
Il est nécessaire d’isoler et de dépister un résident dès l’apparition des signes cliniques évocateurs de COVID. Les signes cliniques sont multiples : toux, fièvre qui peut être fluctuante, oppression thoracique, dyspnée, douleurs musculaires, perte du gout ou de l’odorat, fatigue, diarrhée, …
Les professionnels doivent appliquer les précautions complémentaires gouttelettes et contact dès la mise en isolement du résident.
Nous pouvons vous proposer plusieurs pistes de réflexion : il est important de veiller à la détection des signes d’infection par le COVID soit par autosurveillance en fonction de la population hébergée soit par le personnel d’aide à la vie quotidienne ou éventuellement par un professionnel libéral. En cas de symptôme évocateur, organiser une consultation médicale pour établir le diagnostic.
Lors d’un cas probable ou confirmé, si vous ne disposez pas des moyens humains et matériel pour assurer la prise en charge et la surveillance du résident (signes de gravité entre autres) il faudra envisager un transfert soit hospitalier soit dans une structure handicap habilitée à recevoir des résidents COVID +. Pour ce dernier cas, vous rapprocher de votre délégation départementale.
Nous pouvons vous proposer plusieurs pistes de réflexion : il est important de veiller à la détection des signes d’infection par le COVID soit par autosurveillance en fonction de la population hébergée soit par le personnel d’aide à la vie quotidienne ou éventuellement par un professionnel libéral. En cas de symptôme évocateur, organiser une consultation médicale pour établir le diagnostic.
Lors d’un cas probable ou confirmé, si vous ne disposez pas des moyens humains et matériel pour assurer la prise en charge et la surveillance du résident (signes de gravité entre autres) il faudra envisager un transfert soit hospitalier soit dans une structure handicap habilitée à recevoir des résidents COVID +. Pour ce dernier cas, vous rapprocher de votre délégation départementale.
Les rappels de la CNIL sur la collecte de données personnelles" du 06 mars 2020 cite : "... les employeurs doivent s'abstenir de collecter de manière systématique et généralisée (...) des informations relatives à la recherche d'éventuels symptômes présentés par un employé/agent et ses proches. Il n’est donc pas possible de mettre en oeuvre, par exemple des relevés obligatoires des températures corporelles de chaque employé/agent/visiteur à adresser quotidiennement à sa hiérarchie".
Par ailleurs, selon l'article L.4122-1 du Code du travail : "Chaque employé/agent doit pour sa part mettre en oeuvre tous les moyens afin de préserver la santé et la sécurité d'autrui et de lui-même : il doit informer son employeur en cas de suspicion de contact avec le virus.
Les rappels de la CNIL sur la collecte de données personnelles" du 06 mars 2020 cite : "... les employeurs doivent s'abstenir de collecter de manière systématique et généralisée (...) des informations relatives à la recherche d'éventuels symptômes présentés par un employé/agent et ses proches. Il n’est donc pas possible de mettre en oeuvre, par exemple des relevés obligatoires des températures corporelles de chaque employé/agent/visiteur à adresser quotidiennement à sa hiérarchie".
Par ailleurs, selon l'article L.4122-1 du Code du travail : "Chaque employé/agent doit pour sa part mettre en oeuvre tous les moyens afin de préserver la santé et la sécurité d'autrui et de lui-même : il doit informer son employeur en cas de suspicion de contact avec le virus.
Oui, les dispositions se trouvent dans le texte du ministère de la santé : Intervention en EHPAD des professionnels exerçant en ville – 3 avril 2020 – Ministère de la santé
Oui, les dispositions se trouvent dans le texte du ministère de la santé : Intervention en EHPAD des professionnels exerçant en ville – 3 avril 2020 – Ministère de la santé
De nombreux supports de formation sont disponibles sur les sites des ARS, des CPIAS. Vous trouverez sur le site internet de la STARAQS une sélection de documents pratiques.
De nombreux supports de formation sont disponibles sur les sites des ARS, des CPIAS. Vous trouverez sur le site internet de la STARAQS une sélection de documents pratiques.
Selon l’avis du Haut Conseil de Santé Publique relatif aux critères cliniques de sortie d’isolement des patients ayant été infectés par le SARS-CoV-2 daté du 16 mars 2020 :
Pour un professionnel de santé ne présentant pas de facteur de risque de forme grave :
Au plus tôt au 8ème jour à partir du début des symptômes ;
ET à l’issue d’une période d’apyrexie d’au moins 48 heures (température rectale inférieure à 37,8°C mesurée avec un thermomètre, deux fois par jour, et en l’absence de toute prise d’antipyrétique depuis au moins 12 heures) ;
ET au moins 48 heures à partir de la disparition d’une éventuelle dyspnée (fréquence respiratoire inférieure à 22/mn) et après amélioration franche des autres symptômes (expectoration, céphalée, fatigue, myalgies) ;
AVEC, lors de la reprise des activités professionnelles, au contact de patients, le personnel soignant devra rester porteur d’un masque chirurgical de type 2, pendant les 7 jours qui suivent la levée du confinement. Il est aussi rappelé l’importance du respect des mesures d’hygiène des mains.
Selon l’avis du Haut Conseil de Santé Publique relatif aux critères cliniques de sortie d’isolement des patients ayant été infectés par le SARS-CoV-2 daté du 16 mars 2020 :
Pour un professionnel de santé ne présentant pas de facteur de risque de forme grave :
Au plus tôt au 8ème jour à partir du début des symptômes ;
ET à l’issue d’une période d’apyrexie d’au moins 48 heures (température rectale inférieure à 37,8°C mesurée avec un thermomètre, deux fois par jour, et en l’absence de toute prise d’antipyrétique depuis au moins 12 heures) ;
ET au moins 48 heures à partir de la disparition d’une éventuelle dyspnée (fréquence respiratoire inférieure à 22/mn) et après amélioration franche des autres symptômes (expectoration, céphalée, fatigue, myalgies) ;
AVEC, lors de la reprise des activités professionnelles, au contact de patients, le personnel soignant devra rester porteur d’un masque chirurgical de type 2, pendant les 7 jours qui suivent la levée du confinement. Il est aussi rappelé l’importance du respect des mesures d’hygiène des mains.
Les visites aux résidents de l’établissement sont interdites afin de protéger les résidents et les professionnels d’un risque de contamination.
De manière dérogatoire, sur autorisation du directeur de l’établissement et après avis de l’équipe pluridisciplinaire, des visites exceptionnelles peuvent être accordées aux familles afin de prévenir une altération importante de l’état de santé du résident : décompensation psychique, troubles du comportement.
Un avis spécialisé psychiatrique peut être sollicité si le résident présente une aggravation de ses troubles.
Les visites aux résidents de l’établissement sont interdites afin de protéger les résidents et les professionnels d’un risque de contamination.
De manière dérogatoire, sur autorisation du directeur de l’établissement et après avis de l’équipe pluridisciplinaire, des visites exceptionnelles peuvent être accordées aux familles afin de prévenir une altération importante de l’état de santé du résident : décompensation psychique, troubles du comportement.
Un avis spécialisé psychiatrique peut être sollicité si le résident présente une aggravation de ses troubles.
Il peut être envisagé de définir une zone non utilisée (accueil de jour, salle d’animation …) qui accueillera, durant la journée, les résidents probables et confirmés COVID + présentant une déambulation importante.
Il conviendra de définir, en équipe pluridisciplinaire, les consignes que l’on pourra mettre en œuvre afin de limiter le risque de transmission de l’infection tout en maintenant le mieux possible les habitudes de vie du résident.
Il peut être envisagé de définir une zone non utilisée (accueil de jour, salle d’animation …) qui accueillera, durant la journée, les résidents probables et confirmés COVID + présentant une déambulation importante.
Il conviendra de définir, en équipe pluridisciplinaire, les consignes que l’on pourra mettre en œuvre afin de limiter le risque de transmission de l’infection tout en maintenant le mieux possible les habitudes de vie du résident.
Nous vous proposons trois documents qui reprennent les recommandations.
Consignes aux EMS masque et oxygénothérapie CPIAS
CPIAS Information sur l'alternative aux masques
Tout savoir sur le juste masque REPIAS
Pour les mesures d’hygiènes, veuillez-vous rapprocher du CPIAS IDF : 01 40 27 42 00
Nous vous proposons trois documents qui reprennent les recommandations.
Consignes aux EMS masque et oxygénothérapie CPIAS
CPIAS Information sur l'alternative aux masques
Tout savoir sur le juste masque REPIAS
Pour les mesures d’hygiènes, veuillez-vous rapprocher du CPIAS IDF : 01 40 27 42 00
Il est préconisé que les professionnels disposent d’une tenue à manche courte changée quotidiennement et entretenue par la structure. Il peut s’agir d’une tenue professionnelle ou à défaut une tenue personnelle dédiée à la structure.
Pour les mesures d’hygiènes, veuillez-vous rapprocher du CPIAS IDF : 01 40 27 42 00
Il est préconisé que les professionnels disposent d’une tenue à manche courte changée quotidiennement et entretenue par la structure. Il peut s’agir d’une tenue professionnelle ou à défaut une tenue personnelle dédiée à la structure.
Pour les mesures d’hygiènes, veuillez-vous rapprocher du CPIAS IDF : 01 40 27 42 00
Les tests PCR décèlent les traces d’ARN virale qui peuvent restées détectables pendant plus d’un mois. Cependant, cet ARN détecté n’est pas obligatoirement celui d’un virus actif. Selon les données actuelles, ces personnes ne sont vraisemblablement plus contagieuses en l’absence de symptomatologie évocatrice du COVID 19 et ne doivent donc pas être mises en isolement. (Diapositive 9 de notre diaporama).
Les tests PCR décèlent les traces d’ARN virale qui peuvent restées détectables pendant plus d’un mois. Cependant, cet ARN détecté n’est pas obligatoirement celui d’un virus actif. Selon les données actuelles, ces personnes ne sont vraisemblablement plus contagieuses en l’absence de symptomatologie évocatrice du COVID 19 et ne doivent donc pas être mises en isolement. (Diapositive 9 de notre diaporama).
Les recommandations, selon les données actuelles, spécifient que la contagiosité commence 2 jours avant l'apparition des symptômes et jusqu'à 14 jours après les symptômes en l’absence de fièvre et dyspnée depuis plus de 48 heures. Il est à noter que d’exceptionnelles contaminations ont été documentées jusqu’à 21 jours.
Les recommandations, selon les données actuelles, spécifient que la contagiosité commence 2 jours avant l'apparition des symptômes et jusqu'à 14 jours après les symptômes en l’absence de fièvre et dyspnée depuis plus de 48 heures. Il est à noter que d’exceptionnelles contaminations ont été documentées jusqu’à 21 jours.
Les réinfections au COVID 19 ont fait l’objet de publications. L’hypothèse évoquée est celle d’une deuxième contamination avant que la personne n’ait développé ses anticorps.
Par ailleurs, aujourd’hui la persistance et la durée de protection des anticorps n’est pas documentée (Diapositive 10 de notre diaporama).
Les réinfections au COVID 19 ont fait l’objet de publications. L’hypothèse évoquée est celle d’une deuxième contamination avant que la personne n’ait développé ses anticorps.
Par ailleurs, aujourd’hui la persistance et la durée de protection des anticorps n’est pas documentée (Diapositive 10 de notre diaporama).
Aujourd’hui, il n’est pas recommandé de dépister de manière systématique une personne à titre individuel en l’absence de symptôme. Il convient néanmoins de s’assurer que le confinement et les mesures barrières ont bien été respectées et que le résident n’a pas été en contact avec une personne contagieuse. Il est essentiel de veiller à la bonne compréhension des familles sur l’importance du respect des mesures barrières. (Diapositive 37 de notre diaporama). Si l’établissement n’a aucun cas COVID, il est recommandé de les mettre en zone de quatorzaine et de contrôler, en l’absence de signes cliniques, leur absence de symptomatologie par un test PCR à sept jours.
Aujourd’hui, il n’est pas recommandé de dépister de manière systématique une personne à titre individuel en l’absence de symptôme. Il convient néanmoins de s’assurer que le confinement et les mesures barrières ont bien été respectées et que le résident n’a pas été en contact avec une personne contagieuse. Il est essentiel de veiller à la bonne compréhension des familles sur l’importance du respect des mesures barrières. (Diapositive 37 de notre diaporama). Si l’établissement n’a aucun cas COVID, il est recommandé de les mettre en zone de quatorzaine et de contrôler, en l’absence de signes cliniques, leur absence de symptomatologie par un test PCR à sept jours.
La zone COVID + est un espace dédié aux personnes PCR +. Les résidents peuvent avoir des contacts les uns avec les autres ; Elles sont contagieuses.
La zone de quatorzaine est un espace regroupant les personnes en attente d'un résultat de PCR et dont le statut COVID est incertain. Les résidents sont isolés en chambre pour éviter d’être contaminé par les personnes dont le statut virologique est COVID + et éviter de contaminer les résidents dont le statut est COVID moins.
Les mesures d’hygiène sont les mêmes dans les zones COVID + pour éviter le risque de contaminé le personnel et les autres résidents isolé dans la zone (précautions gouttelettes et contact et personnel dédié si possible). (Diapositives 19 et 21 de notre diaporama).
La zone COVID + est un espace dédié aux personnes PCR +. Les résidents peuvent avoir des contacts les uns avec les autres ; Elles sont contagieuses.
La zone de quatorzaine est un espace regroupant les personnes en attente d'un résultat de PCR et dont le statut COVID est incertain. Les résidents sont isolés en chambre pour éviter d’être contaminé par les personnes dont le statut virologique est COVID + et éviter de contaminer les résidents dont le statut est COVID moins.
Les mesures d’hygiène sont les mêmes dans les zones COVID + pour éviter le risque de contaminé le personnel et les autres résidents isolé dans la zone (précautions gouttelettes et contact et personnel dédié si possible). (Diapositives 19 et 21 de notre diaporama).
La prise en charge des Personne Situation Handicap n’est le plus souvent pas compatible avec les organisations du secteur sanitaire et le personnel sanitaire n’est pas formé pour leur prise en charge spécifique.
Lorsque la situation se présente, le bénéfice-risque individuel pour le résident est collectif et doit faire l’objet d’une réflexion pluriprofessionnel après avis du résident, de sa famille et d’un échange avec la Direction Départementale de l’ARS Ile de France.
Il est important de prendre en compte l’impact que peut avoir une prise en charge par une équipe qui ne connait pas le résident, les spécificités liés à son handicap, son mode de communication.
La prise en charge des Personne Situation Handicap n’est le plus souvent pas compatible avec les organisations du secteur sanitaire et le personnel sanitaire n’est pas formé pour leur prise en charge spécifique.
Lorsque la situation se présente, le bénéfice-risque individuel pour le résident est collectif et doit faire l’objet d’une réflexion pluriprofessionnel après avis du résident, de sa famille et d’un échange avec la Direction Départementale de l’ARS Ile de France.
Il est important de prendre en compte l’impact que peut avoir une prise en charge par une équipe qui ne connait pas le résident, les spécificités liés à son handicap, son mode de communication.
Effectivement, dépister les personnes asymptomatiques permettrait de dépister les porteurs sains et de les isoler. Par contre, pour les personnes PCR-, le résultat du test n’est valable que le jour du test et nécessiterait d’être reconduit très fréquemment…C’est pourquoi la préconisation, de manière opérationnelle, est de s’appuyer en premier lieu sur les symptômes pour déclencher la réalisation d’un test RT-PCR. (Diapositive 7 de notre diaporama). C’est le principe du contact tracing mis en place depuis le déconfinement national visant à tester les cas asymptomatiques. La diffusion des tests sérologiques quand ils seront fiables, devrait aider à répondre à votre question.
Effectivement, dépister les personnes asymptomatiques permettrait de dépister les porteurs sains et de les isoler. Par contre, pour les personnes PCR-, le résultat du test n’est valable que le jour du test et nécessiterait d’être reconduit très fréquemment…C’est pourquoi la préconisation, de manière opérationnelle, est de s’appuyer en premier lieu sur les symptômes pour déclencher la réalisation d’un test RT-PCR. (Diapositive 7 de notre diaporama). C’est le principe du contact tracing mis en place depuis le déconfinement national visant à tester les cas asymptomatiques. La diffusion des tests sérologiques quand ils seront fiables, devrait aider à répondre à votre question.
Des lignes directrices spécifiques pour la reprise d’activité des accueils de jour ont été rédigé par le Ministère de la Santé « Lignes directrices relatives à la réouverture progressive et encadrée des accueils de jour en externat médico-sociaux ». Ces lignes directrices précise notamment les éléments à prendre en compte dans le Plan de Reprise d’Activité.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/reprise-activite-externats-medico-sociaux.pdf
Des lignes directrices spécifiques pour la reprise d’activité des accueils de jour ont été rédigé par le Ministère de la Santé « Lignes directrices relatives à la réouverture progressive et encadrée des accueils de jour en externat médico-sociaux ». Ces lignes directrices précise notamment les éléments à prendre en compte dans le Plan de Reprise d’Activité.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/reprise-activite-externats-medico-sociaux.pdf
Pour une ré-admission, il n’est aujourd’hui, pas recommandé de dépister de manière systématique les résidents en l’absence de symptôme. Il convient néanmoins de s’assurer que le confinement et les mesures barrières ont bien été respectées et que le résident n’a pas été en contact avec une personne contagieuse. Il est essentiel de veiller à la bonne compréhension des familles sur l’importance du respect des mesures barrières. (Diapositive 35 et 37 de notre diaporama).
Pour une admission, la réalisation d’une RT-PCR préférentiellement avant l’arrivée est préconisée. Le test doit être réalisé dans les 24 à 48 heures avant l’admission.
Si le test est positif, le résident est orienté vers une zone COVID + ; s’il est négatif, il est accueilli en zone de quatorzaine. L’isolement peut être levé en l’absence de symptômes avec une deuxième PCR négative à J7. (Diapositive 38 de notre diaporama).
Pour une ré-admission, il n’est aujourd’hui, pas recommandé de dépister de manière systématique les résidents en l’absence de symptôme. Il convient néanmoins de s’assurer que le confinement et les mesures barrières ont bien été respectées et que le résident n’a pas été en contact avec une personne contagieuse. Il est essentiel de veiller à la bonne compréhension des familles sur l’importance du respect des mesures barrières. (Diapositive 35 et 37 de notre diaporama).
Pour une admission, la réalisation d’une RT-PCR préférentiellement avant l’arrivée est préconisée. Le test doit être réalisé dans les 24 à 48 heures avant l’admission.
Si le test est positif, le résident est orienté vers une zone COVID + ; s’il est négatif, il est accueilli en zone de quatorzaine. L’isolement peut être levé en l’absence de symptômes avec une deuxième PCR négative à J7. (Diapositive 38 de notre diaporama).
La réalisation d’un test PCR ne peut pas être imposé à un résident. Ce refus ne doit en aucun cas empêcher l’admission d’un résident. Dans ce cas, le résident sera mis en quatorzaine le temps de l’observation clinique. Il bénéficiera durant cette période d’une surveillance clinique à la recherche de l’apparition de symptôme faisant suspecter une infection COVID qui amènera à la réalisation d’un test PCR.
La réalisation d’un test PCR ne peut pas être imposé à un résident. Ce refus ne doit en aucun cas empêcher l’admission d’un résident. Dans ce cas, le résident sera mis en quatorzaine le temps de l’observation clinique. Il bénéficiera durant cette période d’une surveillance clinique à la recherche de l’apparition de symptôme faisant suspecter une infection COVID qui amènera à la réalisation d’un test PCR.
Il convient d’expliquer l’intérêt du dépistage des professionnels pour eux-mêmes, leur proche et l’établissement. Les professionnels ont cependant le droit de refuser le test. Dans ce cas, le professionnel doit être isolé pendant 14 jours. Une consultation auprès du médecin du travail peut être sollicitée.
Il convient d’expliquer l’intérêt du dépistage des professionnels pour eux-mêmes, leur proche et l’établissement. Les professionnels ont cependant le droit de refuser le test. Dans ce cas, le professionnel doit être isolé pendant 14 jours. Une consultation auprès du médecin du travail peut être sollicitée.
Il est recommandé de demander aux professionnels de prendre leur température à leur domicile avant de venir travailler. Il est essentiel de les sensibiliser de manière précise et factuelle sur les consignes de sécurité. La prise de température ne peut cependant pas leur être imposée. (Diapositive 26 de notre diaporama).
Il est recommandé de demander aux professionnels de prendre leur température à leur domicile avant de venir travailler. Il est essentiel de les sensibiliser de manière précise et factuelle sur les consignes de sécurité. La prise de température ne peut cependant pas leur être imposée. (Diapositive 26 de notre diaporama).
Sur le principe du déconfinement de la population générale, il revient à chaque structure de définir à quelle date ses allers-retours sont possibles dans les conditions de sécurité qui ne peuvent mettre en cause la responsabilité d’établissement vis-à-vis des autres résidents et des professionnels. Il convient de s’organiser pour les sécuriser. Tout ceci doit être défini dans votre PRA (Diapositives 25 et 37 de notre diaporama).
Sur le principe du déconfinement de la population générale, il revient à chaque structure de définir à quelle date ses allers-retours sont possibles dans les conditions de sécurité qui ne peuvent mettre en cause la responsabilité d’établissement vis-à-vis des autres résidents et des professionnels. Il convient de s’organiser pour les sécuriser. Tout ceci doit être défini dans votre PRA (Diapositives 25 et 37 de notre diaporama).
